Guy Coulombe
Le goût du pouvoir public
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Co-éditeur
Chaire de leadership Pierre-Péladeau
Résumé
Avant d’accepter des mandats axés sur la résolution de situations complexes, censés concilier des points de vue souvent inconciliables, Guy Coulombe s’était illustré en occupant des fonctions aussi diverses que secrétaire du Conseil du Trésor, secrétaire général du Conseil exécutif du gouvernement, président de la Société générale de financement (SGF), président d’Hydro-Québec, directeur général de la Sûreté du Québec et directeur général de la Ville de Montréal.
Fidèle au rôle de serviteur non partisan de l’État, il a été de tous les chantiers structurants devant mener à l’érection d’un Québec moderne. Soucieux de se tenir constamment au-dessus de la mêlée, il a transcendé les régimes et fait partie de tous les changements de garde. Son parcours recèle de précieuses leçons de gestion, de leadership et de constance dans l’action. À vous de les découvrir et, comme il le fait si bien lui-même, d’en tirer l’essentiel pour l’exercice de votre propre leadership.
Table des matières
2011, 108 pages, G2697, ISBN 978-2-7605-2697-6
Ce qu’on en dit...
« C'est une lecture qui fait le plus grand bien dans cette période où les décisions arbitraires et l'improvisation semble régner dans une multitude de dossiers où on attendrait un fort leadership politique. [...] C'est un livre qui nous rappelle que la politique ce n'est pas seulement le vaudeville que nous en présentent parfois les médias, c'est aussi des hommes et des femmes qui, chacun à leur manière, orientent le développement du Québec, en donnant forme à des idées grâce à des budgets, des programmes, des actions planifiées guidées par des valeurs fortes. »
Clément Laberge, « Le goût du pouvoir public », Du cyberespace à la cité éducative, 30 juin 2011 [En ligne]
Texte intégral
Mario Asselin, « Les quatre qualité d'un haut dirigeant », Mario tout de go, 3 juillet 2011, [En ligne]
Texte intégral
« Au Québec, on connait assez mal le rôle de nos fonctionnaires dans la gouverne de l'État et de ses principales agences. On connait encore moins les personnes qui remplissent ces fonctions essentielles. [...] C'est donc une rare occasion qui nous est donnée de connaitre la pensée de ces ?serviteurs de l'État? qui ont été l'une des chevilles ouvrières de la Révolution tranquille. »
Louis Bernard, Les Cahiers de lecture de l'Action nationale, vol. 6, no 1, p. 26
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