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Le rêve d'un Groenlandais

Le rêve d'un Groenlandais Feuilleter cet ouvrage

Pour en savoir plus sur les romans groenlandais Je ferme les yeux pour couvrir l'obscuritéTrois cents ans après et Le rêve d'un Groenlandais ainsi que sur la collection Jardin de givrevisionnez la vidéo produite par La Fabrique culturelle, qui était présente au lancement des livres, le 22 février 2016.

Résumé

Tourné vers l’avenir du Groenland, dans un « rêve » qui ouvre à la fois sur les inquiétudes de ses citoyens et sur l’utopie d’une société égalitaire, ce premier roman de la littérature groenlandaise — Sinnattugaq, d’abord publié à Copenhague en 1914, puis traduit en danois par le célèbre Knut Rasmussen l’année suivante — permet au lecteur d’aujourd’hui de renverser son regard sur le monde inuit et de découvrir enfin une voix  « de l’intérieur », qui recentre la représentation sur cette immense île de l’Arctique. Ce roman progressiste revendique pour les Groenlandais savoir, éducation, reconnaissance. Selon Karen Langgård, qui en signe l’introduction,l’auteur a écrit ce roman avec un objectif politique, notamment envers les Danois qui colo-nisaient le pays : « Son idée du rôle des Danois était que les Groenlandais devaient collaborer avec les Danois les plus progressistes, capables de les respecter. »

Avec une introduction de Karen Langgård, professeure à l’Université du Groenland.

Traduction du danois par Inès Jorgensen et validation linguistique à partir du texte original groenlandais par Jean-Michel Huctin.

Table des matières

2016, 162 pages, G4420, ISBN 978-2-7605-4420-8

Ce qu’on en dit...

Quelle que soit l'appartenance nationale, le roman de Mathias Storch rappelle qu'il est aussi essentiel de rêver son avenir et de le partager avec ses compatriotes que de vivre le présent.»
Christiane Gagnon, Les Cahiers de géographie du Québec, volume 60, numéro 171, décembre 2016

«De véritables curiosités et la réparation d’un oubli. [...]  Ces œuvres [Le rêve d'un Groenlandais, Trois cents ans après et Je ferme les yeux pour couvrir l'obscurité] ont pour points communs d’être signées par des autochtones, contrairement aux écrits des explorateurs européens et des colonisateurs danois, et de mélanger allègrement les genres littéraires : science-fiction, autobiographie, pamphlet politique, roman policier »
Anne Pélouas, Le Monde, 30 mars 2016

« La publication de ces trois livres, au Québec, est à marquer d’une pierre blanche »
Louis Cornellier,  Le Devoir, 12 mars 2016

 « Si les trois romans sont dotés d'une véritable qualité littéraire, c'est surtout pour ce qu'on apprend sur ce monde si loin et si mystérieux que l'ensemble, incluant les préfaces et les introductions savantes, est intéressant»
Josée Lapointe, La Presse, 24 février 2016

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